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  • Pour ma douce amie Flavia, princesse Flo d'Or, et gentille petite fée de la nuit.

    DOUCEUR DE LA NUIT.

    Lorsque descend la nuit,

    Tous mes sens en éveil

    Scrutent la galaxie

    Et mes yeux s'émerveillent.

     

    A l'heure du sommeil,

    J'ai le coeur qui s'enflamme.

    Je regarde dans le ciel

    Le reflet de mon âme.

     

    Paysages magiques

    Et si chers à mon coeur,

    Symphonie fantastique,

    Le chemin du bonheur.

     

    Aux sources de la vie

    Je viens chercher l'espoir

    De l'amour infini

    Dans la douceur du soir.

     

    Mon étoile, ma soeur,

    Ouvres-moi l'horizon !

    Fais naître en mon fort intérieur

    De nouvelles émotions !

     

    C'est la nuit qui m'emmène

    Au sommet du bonheur.

    C'est  pour cela que je l'aime,

    Car elle réjouit mon coeur.

              Sabrina.

     

     


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  • J'AIMERAIS TE DONNER..

    Des pétales de douceur.

    Un long baiser tout doux.

    Toi qui dors dans mon coeur,

    Te bercer de ma tendresse,

    T'effleurer de mille carresses

    Et te rendre amoureux.

    T'emmener sur mon nuage

    Découvrir de beaux paysages.

    T'ouvrir la porte de mon coeur,

    T'emmener à l'intérieur

    Et puis simplement te dire

    Tout doucement dans un soupir :

    Je t'aime...

         Sabrina


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  • Je dédie ce poème à ma douce amie Phyllis, sans qui je ne serais jamais sortie du néant, et qui m'a prodigué de judicieux conseils pour finalement créer ce petit blog. Sa gentillesse n'a d'égale que sa douceur. Merci à toi, charmante Heidi.

    FEMMES D'Ô

    S'en vont les songes au fil de l'eau,

    Dans la mémoire de leur naissance,

    Rejoindre les grands mystères d'Ô,

    De mille lointains en quintessence.

     

    Ô songes des belles nuits d'été

    Au seuil des portails d'étoiles,

    Fusant aux esprits rayonnés

    L'alchimie de leur cristal.

     

    Ô songes du froid de l'hiver

    De coeurs qui battent en cristaux

    Leurs blancs flocons si éphémères

    Qui glacent les images en maux.

     

    Ô songes des pluies de l'automne,

    Tremblant l'âme qui s'abandonne

    Dans un sommel où frissonnent

    Les vents mauvais qui tourbillonnent.

     

    Ô songes du printemps annoncé

    Que le soleil fera éclore

    D'esprits en fleur si colorées,

    Plume en vision multicolore.

     

    S'en vont les songes au fil de l'eau,

    Aux quatre coins de leur âme,

    A la croisée des chemins d'Ô,

    Des mille lointains d'une femme.

                  Sabrina.


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